Megaupload fermé par le FBI et la justice américaine. L'annonce, jeudi soir, fait l'effet d'une bombe sur les réseaux sociaux, la plateforme de téléchargement direct (et sa déclinaison Megavideo) faisant partie des 100 sites les plus fréquentés du monde.
Sur Twitter, le sujet devient rapidement incontournable, surtout en ce qui concerne la riposte revendiquée par les Anonymous ayant consisté entre autres à rendre inaccessible des sites officiels gouvernementaux américains.
Sur les pages du Monde.fr, c'est également l'explosion des réactions. Elles laissent pointer colère et consternation, alors que l'utilisation de Megaupload pour partager des fichiers ou regarder films et séries était devenue une habitude pour beaucoup.
Elles critiquent également largement la réaction de l'Elysée, ayant diffusé dans la nuit un communiqué où Nicolas Sarkozy salue la fermeture du service, et posent la question, plus global, de la liberté sur Internet et de la répression du téléchargement illégal.
Sur Twitter, le sujet devient rapidement incontournable, surtout en ce qui concerne la riposte revendiquée par les Anonymous ayant consisté entre autres à rendre inaccessible des sites officiels gouvernementaux américains.
Sur les pages du Monde.fr, c'est également l'explosion des réactions. Elles laissent pointer colère et consternation, alors que l'utilisation de Megaupload pour partager des fichiers ou regarder films et séries était devenue une habitude pour beaucoup.
Elles critiquent également largement la réaction de l'Elysée, ayant diffusé dans la nuit un communiqué où Nicolas Sarkozy salue la fermeture du service, et posent la question, plus global, de la liberté sur Internet et de la répression du téléchargement illégal.